Gaza sous les bombes : une hécatombe sous le regard impuissant de l’ONU

Alors que les frappes israéliennes s’intensifient à Gaza, l’ONU choisit de réduire sa présence sur place. Un paradoxe glaçant au moment où la population civile endure un enfer sans nom.

Stéphane Dujarric, porte-parole de l’organisation, a annoncé que le Secrétaire général Antonio Guterres avait pris la décision de « réduire l’empreinte des Nations Unies à Gaza », alors même que les besoins humanitaires explosent. Dans le même souffle, il appelle au rétablissement d’un cessez-le-feu, comme une incantation répétée en vain.

Un massacre qui se poursuit dans l’indifférence

Le bilan est accablant. En une seule journée, plus de 60 Palestiniens ont péri sous les bombardements israéliens, parmi eux, des femmes et des enfants. En moins d’une semaine, après la rupture du cessez-le-feu par Israël, des centaines de vies ont été fauchées. Après 17 mois d’un conflit sans issue, plus de 50 000 morts sont à déplorer dans la bande de Gaza.

Face à cette catastrophe humanitaire, l’Égypte tente encore une médiation, soumettant une nouvelle proposition de cessez-le-feu. Mais combien de fois faudra-t-il négocier pour que le sang cesse de couler ?

Le monde regarde, l’ONU s’éloigne, et Gaza continue de brûler. Jusqu’à quand ?

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